Idée reçue numéro 1 : « je manque de temps pour devenir coordinateur «
Sur les 5 heures de temps libre des Français chaque jour, la moitié est consacrée à la télévision et à Internet. Si vous diminuez votre consommation d’écran, vous retrouverez plus de temps pour les activités associatives… 😉
Idée reçue numéro 2 : « si je deviens coordinateur, je risque de le rester à vie »
Chacun est libre de stopper son engagement en tant que coordinateur ; si aucun nouveau coordinateur n’est trouvé pour le remplacer alors la distribution du produit s’arrêtera ».
Idée reçue numéro 3 : « c’est compliqué »
Nous vous accompagnons… et réfléchissons à un guide ! Rien n’est complexe avec un peu de volonté…
Le contrat légumes est fondamental dans une AMAP.
Or, impossible pour moi de continuer de cumuler la partie communication (site, newsletter, mails, réunion avec les AMAP, CIVAM, évenements…) et ce rôle.
Je laisse donc la coordination de Contrat pour gérer la partie Communication. L’idéal serait que le nouveau coordinateur accompagne notre futur maraîcher en amont du nouveau contrat.
Sans coordinateur, pas de contrat… donc à terme, plus d’AMAP
Etre coordinateur, , c’est faire le lien entre les amapiens et un producteur. Le coordinateur tisse un lien privilégié avec le producteur.
Donc : prendre du temps pour écouter les informations et demandes de chacun et en faire part à l’autre partie. Cela implique également, tous les 6 mois, de s’occuper de la création des contrats, ainsi que de la récupération et le contrôle des chèques.
Reste à vous lancer pour reprendre le contrat !
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